Prahnli et le dieu malchanceux - Rudy Franck Wilfrid

Prahnli et le dieu malchanceux

366 pages

Prahnli et le dieu malchanceux

19,50 €

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  • le livre sera expédié dès sa parution

 La petite planète abandonnée, d'une laideur affligeante n’avait même pas de nom. Elle tournait péniblement autour d’un pâle soleil, lui aussi sans identité. Les deux sphères étaient depuis longtemps oubliées des dieux et de toute forme de vie. Jusqu’à ce qu’une déesse émotive ne les découvre. Elle s'émeut du triste spectacle qu'elles offrent puis s'insurge. Quel dieu a bien pu créer une telle horreur ? Honte à lui !  Faut-il détruire ce minuscule système ? Les avis sont partagés.

 

Le système est alors confié à un dieu talentueux mais paresseux, qui n’a aucune envie de s’en occuper. Néanmoins, il se prend d’affection pour cette planète, remodelant sa surface et apaisant les océans. Il l’ensemence de végétations et la peuple d’êtres vivants. Il donne vie aux Chloridiennes et autorise la création des Hortoros, mais des événements inattendus compliquent la situation. Cela commence par un dramatique accident qui provoque la naissance des Amras et des Quendis. Quels liens toutes ces races tisseront-elles avec les humains quand ils apparaîtront ? Pourront-elles cohabiter ? D’autant que d’autres dangers planent sur ce monde en éveil.

 



Thèmes : Dieux, Soleils, Planètes, Fantasy, Univers, Peuples, Création, Épopée, Suspense

 

Classement : littérature fantasy, littérature francophone, roman, contemporain

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Seinomarin, Rudy Franck Wilfrid est un touche à tout. Il a longtemps tenu une guitare dans un groupe de rock, taquine le pinceau et expose.

Depuis son licenciement pour cause de délocalisation, l’écriture domine ! Il a publié quatre romans teintés de fantastique.

Grand amateur de Fantasy, avec PRAHNLI et le dieu malchanceux,  il nous propose un voyage dans un univers original, tout droit sorti de son imagination.

 

 

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Extraits

"Elles étaient vingt-quatre, vingt-quatre cueilleuses insouciantes sous la lumière de Méhira. Elles s’échangèrent quelques regards puis se mirent à courir. Elles furent vingt-quatre à se jeter dans le précipice."

 

"Il vit alors une étrange créature venir à lui, elle ondulait, gracieuse dans cette eau qui le tuait. Elle venait certainement pour le guider vers ses ancêtres. Elle ressemblait à une femme, mais pas comme celles qu’il connaissait, puis sa vue se brouilla et ce fut le noir"

 

"Arrar sentit qu’ils n’étaient pas seuls. L’œil aussi bon que l’oreille, il aperçut une forme ou plutôt une ombre se dissimulant derrière une colonne. Tenant fermement sa lance, il agrippa l’épaule de Bhraa pour le faire reculer. Pas question de passer à proximité de l’une d’elles : cela sentait le piège. Ils feraient un détour. Ils levèrent les yeux et se rendirent compte que la montagne tout entière pouvait les engloutir. Çà et là se devinaient des blocs de roche prêts à en dévaler les pentes. Il ne s’agissait plus d’empilements en équilibre, mais de rochers énormes dont le plus petit pourrait en aplatir une dizaine comme eux. Arrar supposa que derrière chacun d’eux se tenait une créature comme l’ombre qu’il avait aperçue. Nul doute qu’ils avaient été érigés pour protéger cet accès et il était probable qu’il en soit de même ailleurs. Se faufiler entre les colonnes restait l’unique moyen de franchir la montagne. Il refusait de faire demi-tour, il n’y avait rien derrière eux, rien pour son fils, hormis la mort. Il l’avait protégé lors d’escarmouches contre quelques individus isolés, cela lui serait impossible s’il devait affronter un ennemi plus nombreux. Aucun espoir en arrière, il était devant. C’était ça ou périr ici."

 


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